10 septembre 2025

Cette Française venue de Sète fait trembler la Silicon Valley…

Un bureau vitré, au 30e étage d’un building de San Francisco. Une Française y signe un mail en tapant d’une main, pendant qu’un directeur marketing de la tech tremble en refreshant Slack. Son nom circule en boucle dans les couloirs feutrés de la Silicon Valley. Elle intrigue, fascine, dérange. Pourtant, en France, cette enfant de Sète est quasi inconnue. Pourquoi cette Française, ancienne élève de HEC, fait-elle trembler les PDG de la Tech ? Et comment une concurrente directe d’Elon Musk et Mark Zuckerberg est-elle parvenue à les faire douter ? Répondez franchement : vous connaissiez son nom avant aujourd’hui ?

Quand la Silicon Valley parle français (et a peur)

Ses rendez-vous se font sur fond de NDA et de silence médiatique. Mais dans les couloirs feutrés de Menlo Park, une femme attire les regards comme une anomalie algorithmique. Fidji Simo. Le patronyme n’est pas encore dans les JT… mais il est déjà en gras dans les carnets de contacts de Meta, Amazon, Apple ou Netflix. Selon Ouest-France, celle qui a grandi dans une HLM face au port de Sète dirige aujourd’hui Instacart, licorne américaine spécialisée dans la livraison. Fine stratège, elle a transformé cette plateforme en mine d’or data… tout en gardant un profil bas. Mais sous la surface, une tension monte.

Pourquoi les géants de la data la surveillent à ce point ? Parce qu’elle sait où appuyer là où ça fait mal. Et qu’elle ne prévient jamais avant d’agir. Une nouvelle fonctionnalité, une annonce stratégique, un rachat surprise… à chaque fois, ça tombe un vendredi, à 17h. Comme une bombe technologique à retardement.

La Française qui joue en première ligne dans la guerre des IA

Fidji Simo, 39 ans, est l’un des secrets les mieux gardés de la Silicon Valley. Avant de diriger Instacart, elle était vice-présidente chez Facebook, à la tête de la division “App principale”. Traduction : c’est elle qui pilotait l’algorithme que vous traquez chaque jour sur votre fil d’actu. Mais ce n’est pas tout. En 2021, alors que Meta s’enfonce dans ses délires de métavers, Simo part sans se retourner… et prend les rênes d’une startup qui croule sous les dettes et la défiance des investisseurs.

Quatre ans plus tard ? Instacart est valorisée à 12 milliards de dollars, propose un service de livraison automatisée via IA et collecte des milliards de données d’achat, segmentées par foyer américain. D’après une note confidentielle divulguée par un salarié de Google, “Simo a plus de données comportementales que Netflix et McKinsey réunis”. Si même les analystes du MIT en parlent, ce n’est plus un ragot de cafétéria tech.

Derrière le sourire LinkedIn, une stratégie de sniper

Ce qu’on dit moins : Fidji Simo a co-fondé le “Women’s Health Research Fund” qui pèse désormais plus de 100 M$ de dotation pour la recherche médicale réservée aux pathologies féminines, un angle encore extrêmement mal financé aux États-Unis (source : NIH, 2023). Elle utilise ses réseaux pour faire croiser tech, santé, données et éthique… mais avec une méthode éprouvée : l’effet de levier silencieux.

Son instinct business vient de loin. Déjà étudiante, elle vendait des études de marché sur eBay. Aujourd’hui, elle redessine les flux logistiques de Walmart, cible les habitudes alimentaires à l’échelle fédérale et rêve d’appuyer sur un bouton pour rediriger l’offre agroalimentaire nationale. D’après un expert de Stanford interrogé par Le Torchon : “Elle est la seule à pouvoir concurrencer Amazon sur la livraison sans utiliser plus de camions”… Autant dire que Bezos rêve de la voir échouer.

  • 40 millions d’Américains utilisent Instacart chaque mois
  • 19 États testent actuellement son nouvel outil de “panier nutritionnel subventionné”
  • Elle a rejoint le conseil d’administration de Shopify et LVMH à 38 ans

Et maintenant ? Elle vise l’Europe (et pourrait redéfinir vos courses)

Dernier rebondissement : Fidji Simo vient de publier discrètement une annonce de recrutement… en français. Objectif : créer une antenne “data/food” à Paris dès novembre 2025. Les documents de dépôt au Registre indien de la propriété intellectuelle, consultés par Le Torchon, révèlent également une joint-venture secrète avec une startup suisse spécialisée dans la traçabilité alimentaire souveraine. L’Europe, encore victime des lobbys agroalimentaires, pourrait devenir la prochaine étape pour la Française… et son IA qui sait d’avance ce que vous allez manger.

Et si c’était elle, le contre-pouvoir le plus crédible face aux dérives silencieuses de la Silicon Valley face aux nombreuses nouvelles arnaques sur Leboncoin ?

Et vous, prêts à confier votre frigo à une IA occitane ?

Fidji Simo, c’est ce personnage entre Margrethe Vestager et Marie Curie que la France a oublié de médiatiser. Pourtant, elle coche toutes les cases : française, diplômée, visionnaire, dirigeante et… imprévisible. Sa prochaine annonce pourrait vous concerner plus que vous ne l’imaginez. Et vous, seriez-vous prêt à ce que vos choix alimentaires — mais aussi votre budget courses, votre bilan carbone et votre santé préventive — soient pilotés par une IA made in Sète ?
À commenter, débattre, partager : la souveraineté alimentaire 3.0 doit-elle passer par des algorithmes ?

FAQ

Fidji Simo est-elle propriétaire d’Instacart ?

Non, elle en est PDG mais ne possède pas la majorité du capital. Elle a toutefois été la figure clé de son introduction en bourse en 2023.

Quel est son lien avec Facebook ?

Elle y a travaillé plus de 10 ans, en dirigeant notamment la division “App principale” de 2017 à 2021, avant de quitter l’entreprise pour raisons stratégiques.

Existe-t-il une version française d’Instacart ?

Pas officiellement. Mais des signaux publics laissent penser à une expansion imminente vers le marché européen.

Pourquoi son profil est-il rare dans la Tech ?

C’est une femme, française, et non-ingénieur à la base, qui évolue dans un univers dominé par les profils masculins, américains et issus des sciences dures comme Stanford ou MIT.

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