Imaginez un banquet discret, nappes bien repassées, cristal qui tinte à peine sous le murmure des conversations feutrées. Deux hommes assis côte à côte, habitués aux secrets : Vladimir Poutine et Xi Jinping. Les caméras sont coupées, les micros aussi. Pourtant, quelques mots échappent à la vigilance. Non, ce n’est pas d’armes nucléaires dont il est question. Même pas de gaz ou de sanctions économiques. Mais… d’immortalité. Oui, littéralement. Depuis quand les chefs d’État parlent-ils de transcender la mort ? Et surtout, pourquoi maintenant ? Cette étrange séquence, interceptée à Pékin, soulève une question vertigineuse : et s’il y avait bel et bien un projet concret derrière ces murmures ? Suivez le fil — ce n’est pas (que) de la science-fiction.
Poutine et Xi misent-ils sur la vie éternelle ?
C’est Ouest-France qui a levé le voile sur cet échange savoureux : lors d’une visite d’État en Chine, Poutine aurait demandé à Xi Jinping s’il croyait à l’immortalité. Réponse du président chinois après un rictus entendu : « Nous travaillons dessus ». De quoi faire pâlir plus d’un scénariste de Netflix. Rien n’a filtré officiellement, bien sûr. Mais la scène, captée fortuitement par une caméra encore active sur un feed non-censuré, a rapidement été extraite et disséquée en ligne. Sur les réseaux, le hashtag #ImmortalPoutine a explosé en 24 heures. Plusieurs spécialistes en lecture labiale ont été sollicités par des chaînes comme NHK ou Channel 4 pour corroborer l’échange. Et devinez quoi ? L’analyse est « crédible » selon le laboratoire de Cyber-interprétation de l’université de Tokyo.
Le véritable Empire contre-attaque : la techno-immortalité
Derrière ce qui pourrait passer pour une blague macabre, un pan entier de recherche techno-scientifique semble mobilisé. En Russie, le projet « Initiative 2045 », fondé par le mégalo milliardaire Dmitry Itskov, vise à transférer la conscience humaine dans des avatars robotiques. En Chine, l’Université de Tsinghua publie depuis 2021 des rapports sur la cartographie neuronale complète et le stockage de la mémoire humaine sur support numérique. Selon un article publié dans Nature en 2023, les neuro-ingénieurs chinois auraient établi 67% de correspondance entre l’activité d’un cerveau humain et ses réponses simulées par IA après numérisation. Un chercheur de l’Institut Pasteur, interrogé par France Culture, confirme : « C’est du transhumanisme appliqué. Et ce n’est plus un délire, c’est devenu un secteur stratégique, même militaire ».

Quand les autocrates veulent devenir des dieux
Que des dirigeants aux pouvoirs quasi-religieux s’intéressent à l’extension artificielle de la vie n’est pas une surprise pour les historiens. Napoléon consultait des magnétiseurs ; Louis XIV écoutait les charlatans de Versailles ; Elon Musk, lui, implante Neuralink dans le scalp de cochons vivants. Mais ici, le pas est franchi : si des États autoritaires, peu enclins à débattre de bioéthique, mettent effectivement en œuvre des programmes d’immortalisation des élites, cela change tout. En France, le Comité consultatif national d’éthique a publié en 2024 une note alarmiste sur la « dissociation des trajectoires vitales entre classes dirigeantes et population », faisant référence à « une immortalité de caste » alimentée par des algorithmes et des laboratoires privés. L’INSEE observe déjà que l’espérance de vie des 1% les plus riches en France a atteint 90,2 ans contre 78,6 pour les 50% du bas — un écart qui croît depuis 2010.
L’immortalité numérique comme nouvel eldorado géopolitique
Les États misent sur cette quête depuis plus longtemps qu’on ne l’imagine. Le Centre de recherche en bio-ingénierie de Shenzhen a récemment signé un accord avec une startup israélienne spécialisée dans la reconstruction de la voix des morts à partir de leurs données personnelles. Le Kremlin aurait injecté 2,5 milliards de roubles dans une filiale privée supervisant des projets de reconstructions holographiques de hauts fonctionnaires… pour « réunion post-décès » selon le document budgétaire publié en catimini sur le portail officiel gov.ru. Pendant ce temps, dans la Silicon Valley, Ray Kurzweil (Google) annonce le retour des premiers avatars « sentients » pour 2029. La guerre froide n’a jamais repris — elle s’est juste numérisée, éternisée. Aujourd’hui, votre mémoire vaut plus que votre vote. Votre visage, plus que votre ADN.
Et si la vraie révolution, c’était juste… survivre ?
Entre IA, biotechnologies et fantasmes de toute-puissance, la frontière entre santé et contrôle devient floue. En quoi ces rêves d’immortalité redessinent-ils le pouvoir, la démocratie, la notion même d’humanité ? Si l’élite devient éternelle, que reste-t-il aux vivants ordinaires ? La médecine publique française peine déjà à recruter des médecins généralistes pour les déserts médicaux, pendant que des PDG d’envergure reçoivent des transfusions de sang jeune et cryoconservent leur ADN. Alors, utopie impie ou dystopie imminente ? Qui financera notre « mort naturelle » à l’heure où certains construisent leur éternité algorithmique ? Et vous, que pensez-vous de ces projets d’immortalité politique ? Utopie technologique ou cauchemar pour notre démocratie ? Dites-le-nous en commentaire.
FAQ
Est-ce que Poutine et Xi Jinping ont vraiment dit ça ?
Selon Ouest-France et les analyses labiales diffusées par plusieurs médias, l’échange semble bel et bien avoir eu lieu hors micro, mais devant une caméra encore active.
Existe-t-il des projets réels d’immortalité chez des États ?
Oui, des initiatives comme le Projet 2045 en Russie ou des programmes de stockage de conscience en Chine ont été documentés. Le sujet est pris au sérieux dans certains cercles scientifiques et militaires.
Quels sont les risques d’une quête d’immortalité par les élites ?
Elle pourrait accentuer les inégalités entre ceux qui auront accès à ces technologies et le reste de la population, posant des problèmes éthiques majeurs.