22 août 2025

Ce qui se prépare le 10 septembre pourrait tout changer

Une silhouette figée, pancarte levée au ciel, au beau milieu du boulevard Haussmann. Des murmures qui montent de la foule. Des regards qui se croisent, complices et inquiets à la fois. À Paris, quelque chose se prépare… mais personne ne veut encore l’avouer. Un mot circule, presque à voix basse : « blocage ». Le 10 septembre pourrait être un tournant. Mais tournant vers quoi ? Quelles sont ces forces à l’œuvre en coulisses ? Et pourquoi certains responsables politiques semblent-ils si nerveux ces derniers jours ? Restez bien accrochés, car ce qui va suivre risque de faire vaciller quelques certitudes.

Des signes qui n’étaient pas si discrets : la France à l’arrêt ?

Depuis quelques semaines, les rues s’animent d’un étrange ballet. Des followers attentifs ont repéré sur les réseaux sociaux une multiplication d’appels à l’action. Des affiches anonymes placardées dans plusieurs métros appellent à une journée de mobilisation massive le 10 septembre. Le nom qui revient en boucle : « Bloquons Tout ». Selon RFI, ce mouvement entend « mettre le pays à l’arrêt total pour se faire entendre face au gouvernement Macron ». Une volonté de frapper fort, mais sans tête d’affiche. Qui tire les ficelles ? Pourquoi maintenant ? L’impression d’un retour des gilets jaunes… mais sous un nouveau masque. L’ambiguïté est totale – et c’est probablement voulu.

Un appel à la paralysie nationale : ce que prépare « Bloquons Tout »

Le mystère se dissipe doucement : le mouvement « Bloquons Tout » appelle à une journée de blocages multiples et coordonnés à travers toute la France, le mardi 10 septembre. Routes, gares, lycées, raffineries : rien ne serait épargné. Selon plusieurs tracts circulant en ligne, les participants seraient encouragés à mener des « actions décentralisées » pour déjouer les forces de l’ordre et paralyser l’économie. Des coordinations se mettent en place sur Telegram. Des influenceurs militants propagent des guides de sabotage pacifique. Certains syndicats, bien que non officiellement affiliés, laissent leurs bases se mobiliser librement. Le mot d’ordre n’est plus seulement de manifester : il s’agit désormais de perturber profondément. La cible ? Le modèle socio-économique actuel – et probablement aussi la figure-même d’Emmanuel Macron.

Pourquoi l’appel du 10 septembre inquiète autant le gouvernement

C’est plus qu’un mouvement spontané. Plusieurs analystes s’accordent à dire que le contexte actuel est explosif : hausse continue de l’inflation, réforme de l’assurance chômage, explosion des prix de l’énergie, et un climat post-jeux olympiques sous tension. Les ingrédients sont réunis pour une contestation massive et protéiforme. Ce qui effraie particulièrement l’exécutif ? L’absence de relais traditionnels. Ce mouvement échappe aux syndicats, dépasse les partis politiques. Les renseignements territoriaux s’agitent : certains redoutent des infiltrations radicales, d’autres une propagation virale hors de contrôle. Dans les couloirs de Matignon, on parle d’un « défi invisible ». Un proche de François Bayrou aurait même déclaré, selon RFI, que « jamais un mouvement n’a été aussi imprévisible dans ses ramifications ».

  • Des écoles pourraient fermer pour raisons « de sécurité »
  • Certaines raffineries annoncent des disruptions possibles
  • La RATP et la SNCF anticipent des interruptions non planifiées

Et si le 10 septembre n’était que le début ?

L’un des arguments les plus puissants du mouvement « Bloquons Tout », c’est qu’il ne s’agit pas d’un simple coup d’éclat. Beaucoup de ses publications évoquent un « point de bascule ». Certains groupes préparent d’ores et déjà des suites au 10 septembre : occupations, reconductions, assemblées populaires spontannées. Et à y regarder de plus près, un phénomène semble s’affirmer : une jeunesse ultra-connectée, lasse des consultations institutionnelles, qui s’inspire aussi bien des black blocs que des activistes climatiques internationaux. La convergence qu’on craignait en 2018 pourrait-elle enfin se produire en 2025 ? Reste à savoir si la société française est prête à encaisser une telle secousse.

Et vous, seriez-vous prêt à bloquer la France pour vos convictions ?

Le 10 septembre pourrait bien marquer un avant et un après. Peu importe que vous souteniez ou non le mouvement : sa capacité à faire parler de lui, sans leader ni programme clair, interroge. Faut-il y voir une résurgence du chaos social, ou un nouveau modèle de mobilisation horizontale ? Et vous, qu’en pensez-vous ? Auriez-vous le courage de tout bloquer pour vous faire entendre ? Partagez cet article, commentez-le, débattez-en.

FAQ

Qui organise le mouvement « Bloquons Tout » ?

Il s’agit d’un mouvement décentralisé sans leader officiel, relayé principalement via les réseaux sociaux et plateformes cryptées.

Quels secteurs risquent d’être impactés le 10 septembre ?

Les transports, l’éducation, les raffineries et certains services publics pourraient connaître des perturbations majeures.

Le gouvernement a-t-il réagi officiellement ?

Pas de déclaration directe, mais des consignes de vigilance ont été données aux préfets et services de renseignement.

By Inès Armand

Inès Armand est une journaliste française passionnée par l’actualité brûlante et les coulisses du pouvoir. Diplômée de l’École de journalisme de Lille en 2010, elle a débuté sa carrière comme reporter terrain pour une radio locale, avant de rejoindre la rédaction de plusieurs quotidiens nationaux. Lorsqu’elle n’est pas sur le terrain, Inès anime des débats sur l’actualité et partage ses analyses sur les réseaux sociaux, où elle n’hésite pas à interagir avec ses lecteurs. Son credo : “L’information ne dort jamais, et moi non plus.

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