Durant ses lives, il faisait rire même quand il pleurait sans que personne ne le voie.
Au sommet de sa carrière numérique, Jean Pormanove affichait une énergie solaire – lunettes fumées, punchlines explosives, et sourires confiants. Et pourtant, derrière ce masque bien rôdé, se cachait une vérité glaçante que ses abonnés n’ont découverte qu’après sa mort brutale en août 2025.
Pourquoi un streamer adulé, suivi par des centaines de milliers de fans, aurait-il tant caché ? Quels fragments de sa vie restaient confiés uniquement à sa caméra éteinte ?
Vous pensiez connaître Jean Pormanove ? Attendez de lire ce qu’il avait soigneusement dissimulé… jusqu’à la fin.
“Il donnait tout, mais il gardait l’essentiel pour lui”
Pendant des années, Jean Pormanove s’était imposé comme une figure incontournable du streaming francophone. Sur Twitch, il savait captiver : jeux vidéo, réactions en direct, coaching pour jeunes streamers. En 2023, il dépassait les 230 000 abonnés sur YouTube. L’ascension était fulgurante… mais qu’est-ce qui lui donnait tant d’urgence ?
D’après ses proches, cités par CNEWS dans leur article du 19 août 2025, Jean était “d’une intensité rare, comme s’il courait contre quelque chose”.
Ce “quelque chose”, ce n’était pas juste l’algorithme ou la concurrence.
Il vivait ses streams comme s’ils pouvaient être les derniers.
Il arrivait souvent à Jean de disparaître sans prévenir. Pendant plusieurs jours, aucun tweet, aucune story. Ses fans pensaient à des vacances discrètes ou simplement un besoin de “déconnexion”. Et lui répondait, à son retour, par une blague bien placée.
Mais une routine étrange se dessinait : pics d’activité intenses → silence radio → confidences affichées puis effacées…
Un détail que personne n’avait vu… ou n’avait osé regarder de trop près.
“Il le savait depuis longtemps”
La vérité ? Elle était enfouie depuis des années. Jean Pormanove souffrait d’une maladie chronique dégénérative. Un diagnostic reçu alors qu’il n’avait que 26 ans.
Selon les informations de CNEWS, confirmées par une proche amie de l’influenceur, Jean avait appris dès 2021 qu’il vivait avec une forme sévère de sclérose en plaques, évolutive et imprévisible.
Il n’en a jamais parlé publiquement. Jamais évoqué dans ses interviews, ni sur ses réseaux. Pas une allusion dans ses vidéos, même lors de ses discussions “in real talk”.
Et pour cause : “Il ne voulait pas que les gens le plaignent”, confiait une source du milieu.
Chaque stream devenait une performance survolée d’adrénaline, une bouffée d’oubli. Un masque bien attaché.
Il préparait des vidéos d’avance pour masquer ses absences. Il diffusait en différé, en secret. Son sourire était parfois déjà enregistré… pendant que son corps, lui, lâchait à petit feu hors cam.

Un acharné de la vie numérique dans un corps qui s’éteignait
Quand on revise le contenu de Jean Pormanove à la lumière de cette information, tout prend une autre teinte.
Les streams marathons ? Une revanche personnelle.
Les blagues absurdes en pleine nuit ? Une façon d’échapper à l’insomnie induite par les douleurs.
Les dons reversés à des assos “mystères” ? Parfois dirigés vers la recherche médicale contre les maladies auto-immunes.
Un détail particulièrement saisissant dans ses dernières vidéos : il répétait souvent “profitez pendant que c’est chaud”, ou “rien n’est permanent ici, même vous, même moi”.
Personne ne pensait qu’il parlait littéralement.
Ses abonnés interprétaient ces phrases comme de simples punchlines. Mais pour Jean, chaque mot était pesé, calibré. Comme une capsule temporelle d’un homme conscient que son compte à rebours était enclenché.
L’ironie cruelle ? Il avait prévu de faire une vidéo “confession” pour expliquer son histoire. Titre de draft sur son ordi, retrouvé post-mortem : “Tout ce que vous ne savez pas… encore”.
Il ne l’aura jamais publiée.
Et maintenant, que reste-t-il de Jean Pormanove ?
On pourrait croire que tout est dit. Mais la dernière révélation relance un débat plus large sur les streamers et créateurs de contenu au quotidien : à quel prix court-on après la visibilité ?
Jean Pormanove n’est pas le premier à vivre une double vie numérique et personnelle. Il rejoint une longue liste de créateurs qui, par peur du regard ou par cohérence de “marque”, cachent leurs douleurs jusqu’à l’irréversible.
La scène française, pourtant jeune, commence à se saisir du sujet. Certains influenceurs comme @_lifecoachFlo ou @Zoé_Real lancent des discussions sur Twitch autour du burnout et des maladies invisibles dans le milieu digital.
Mais la grande question persiste : combien d’autres Jean Pormanove cachent-ils encore ce qu’ils ne veulent pas avouer ?
Et vous, avez-vous déjà ressenti cette pression de montrer une version “parfaite” de vous-même sur le web ?
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